En s’élevant de quelques mètres seulement, le drone permet d’apporter une vue d’ensemble sur une propriété. C’est l’outil idéal pour mettre en valeur un bien immobilier dans son environnement et sous un angle spectaculaire :
Cette prestation est idéale pour obtenir des photos de haute qualité de votre bien immobilier.
Je vous fournis aussi bien les formats pour le web que les originaux en haute résolution.
Nous choisissons ensemble les prises de vues qui vous conviennent (façades, toiture, vue générale, dépendances…).
Ma prestation inclut :
Tarif :
180 € *
Mon drone filme l’extérieur de votre résidence, ses façades, ses dépendances, sa situation et les principales vues depuis vos terrasses.
Cette prestation vous procure un film au format standard mp4 que vous pourrez montrer à vos clients.
Ma prestation inclut :
Tarif :
à partir de 250 € * / jour
La visite virtuelle permet à vos clients de découvrir l’intérieur de votre bien immobilier comme s’ils le visitaient eux-mêmes.
Mon drone passe d’une pièce à l’autre en volant, entre et sort de la maison selon un scénario précis mettant en valeur chaque partie de votre résidence.
Ma prestation inclut :
Tarif :
à partir de 390 € * / jour
*hors frais de déplacement
TVA non applicable, article 293B du CGI
Cette prestation comporte le survol de votre propriété et l’enregistrement d’une à plusieurs séquences vidéos pouvant comporter des effets (travelling, rotation autour d’un Point Of Interest – POI, Dolly zoom, Tunnel temporel, etc.). Pas d’inquiètude : je définis avec vous le scénario précis du film à réaliser, cela en fonction du repérage effectué sur le site au moment de mon arrivée chez vous.
Pour un tournage destiné à présenter un bien immobilier à vendre, la vidéo finale ne dure en général que 3 à 10 mn maximum. Bien entendu, la durée d’enregistrement des séquences est nettement plus longue, car il faut parfois recommencer. Selon vos souhaits, je peux vous livrer les rushs (enregistrement brut extrait du drone) ou bien réaliser toute la partie post-production : montage, colorimétrie, ajout de son, de sous-titres, effets entre les scènes, etc.
En tant que pilote de drone, voici ce que je sais sur les réglementations concernant l’utilisation des drones à des fins de photographie ou de vidéographie dans la région de Saint-Tropez et ses environs :
Les règles varient en fonction de la mention de classe CE (C0, C1, C1, C2, C3, C4) portée par le drone.
Pour effectuer des vols à faible risque dans le domaine de la prise de vue immobilière, j’ai choisi le drone DJI MINI 2 pour sa légèreté (250g) et la qualité de son capteur d’images (en 4K). Pour les vols en indoor (visites virtuelles), j’utilise le drone FPV DJI Avata 2, capable de se faufiler dans toutes les pièces d’une demeure.
Il me permet de voler en catégorie ouverte (C0) dans un espace privé (votre propriété privée) tout en respectant la règle du 1 pour 1 en terme de hauteur (la hauteur maximale de vol correspond à la distance en mètres entre le drone et la limite de votre terrain). Si nécessaire, je peux également voler en catégorie spécifique S3 grâce à ma certification de pilote (CATT) délivrée par la DGAC. Dans ce cas, je devrai déposer à l’avance une demande d’autorisation de vol.
Si vous souhaitez que je filme un événement ou votre propriété avec un éclairage nocturne particulier, le pilotage de nuit est autorisé, mais il faut respecter les règles de sécurité et de visibilité. Les drones que j’utilise sont parfaitement capables de filmer en conditions de basse luminosité et le rendu est souvent spectaculaire. Si cette option vous intéresse (exemple : piscine éclairée de nuit), n’hésitez pas à m’en parler.
Comme le veut la législation, mes drones sont tous correctement identifiés avec mes coordonnées. Ils sont parfaitement conformes aux normes CE en vigueur et systématiquement soumis à une vérification détaillée de leur état de fonctionnement (check-list de prévol et carnet d’entretien).
Lorsqu’un drone pèse plus de 800 grammes, il faut l’enregistrer auprès de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC). Ce n’est pas le cas du drone DJI Mini 2 que j’utilise pour la prise de vue immobilière : il pèse moins de 250g. Malgré tout, je déclare chacun de mes appareils via le site AlphaTango sur lequel je suis également enregistré comme télépilote certifié CATT.
Certaines zones sont interdites ou restreintes (proximité d’aéroports, sites sensibles, zones militaires, etc.). Le survol de l’agglomération de Saint-Tropez est soumis à des autorisations spécifiques (prévoir une semaine de délai pour l’autorisation de vol). Plusieurs zones règlementées (dont celle de l’aéroport de La Môle) entourent la cité tropézienne : R 95 A, R 95 B1, R 95 B2…
Certaines zones, comme la rade de Toulon par exemple, sont totalement interdites au vol de drone, sauf dérogation exceptionnelle, en raison de la présence d’installations militaires.
En tant que télépilote professionnel, je demande systématiquement une autorisation de vol avant de voler.
Chaque pilote peut avoir ses préférences, mais personnellement, j’ai opté pour le drone DJI Mini 2 en raison de sa petite taille qui lui permet de filmer tout aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur d’une propriété.
Si vous souhaitez réaliser une visite virtuelle de votre bien immobilier, ce type de drone peut se faufiler aisément (avec mon aide, bien entendu) d’une pièce à l’autre et simuler le passage d’un visiteur dans tous les étages.
Malgré son poids léger (moins de 250 g), ce drone dispose d’un capteur visuel de 4K, ce qui lui permet de réaliser des prises de vue de qualité professionnelle.
La meilleure façon d’améliorer la qualité de l’image d’un drone est de ne pas avoir de problèmes dès le départ !
Pour cela, ma technique de prise de vue consiste à choisir la bonne vitesse d’obturation, bien vérifier la mise au point et l’ouverture avant la prise de vues.
Lorsque le drone le permet, je photographie en format RAW pour obtenir la meilleure qualité d’image.
Les fichiers RAW contiennent plus d’informations sur la couleur, l’exposition et permettent un meilleur contrôle lors du post-traitement.
Je prends toujours plusieurs photos de la même scène à des expositions différentes.
Je fusionne ensuite ces photos en HDR (High Dynamic Range) pour obtenir une plage dynamique plus large.
Cette technique consiste à prendre plusieurs photos de la même scène et à les combiner pour réduire le bruit.
Cette technique est particulièrement utile dans des conditions de faible luminosité.
La meilleure ouverture varie en fonction du drone utilisé et de sa taille de capteur. Je connais bien mes drones et effectue les bons choix en conséquence.
Les ombres dures peuvent rendre l’image moins nette.
Je préfère photographier lorsque la lumière est douce, comme au début ou à la fin de la journée.
Mon drone DJI Mini 2 est équipé d’un système de stabilisation lié à la géolocalisation. Cela lui permet de rester parfaitement immobile en vol stationnaire. Sa nacelle (qui porte la caméra) atténue tout mouvement résiduel, pour des images toujours excellentes.
La plupart des prises de vue aériennes sont réalisées en extérieur, donc je planifie mes séances en fonction de la lumière naturelle.
Je travaille avec le soleil et les autres conditions météorologiques pour capturer des images optimales.
Les heures dorées (lever et coucher du soleil) offrent une lumière douce et chaude qui met en valeur les sujets filmés en créant une infinité d’ombres légères.
Je préfère éviter les heures de midi lorsque le soleil est au zénith, créant des ombres dures.
Vous vous en doutez : un temps venteux peut rendre le drone instable et affecter la netteté des images.
Un vent léger (moins de 25 km/h) est généralement préférable pour des prises de vue stables. Je choisis mes jours de mission selon vos disponibilités, mais bien entendu également selon la météo.
Les jours nuageux peuvent offrir une lumière douce et uniforme, idéale pour la photographie.
Cependant, j’évite les jours trop sombres où la lumière est trop faible. Un ciel bleu est par ailleurs plus vendeur si les images produites doivent servir à vendre votre bien immobilier.
Je ne vole jamais par temps de pluie ou de brouillard, car cela peut endommager le drone et réduire la visibilité.
La pluie est de plus néfaste à la netteté des images.
Les drones fonctionnent bien dans une plage de température allant de -10°C à +40°C.
J’évite les extrêmes de chaleur ou de froid, parce que cela peut affecter la batterie et les performances du drone.
En résumé, choisissez des jours ensoleillés avec peu de vent pour des prises de vue aériennes nettes et stables.
Il est crucial de respecter la vie privée d’autrui.
Le survol de certaines zones et la photographie aérienne (photo, vidéo, thermographique, radar) sont interdits par la loi sans le consentement des personnes filmées. Mais, pas d’inquiétude si vous avez des voisins un peu difficiles : il est parfaitement légal de faire décoller un drone depuis une propriété (en respectant les limitations imposées par la règlementation aérienne). Je prends simplement garde à ne pas filmer la propriété voisine. Malgré tout, il est toujours préférable de prévenir aimablement vos voisins qu’un tournage aura lieu, afin qu’ils ne s’inquiètent pas inutilement.
Des logiciels comme Adobe Lightroom, Photoshop, sont ceux que j’utilise le plus pour la retouche de photos. Pour le montage vidéo, je préfère utiliser IMovie sur mon Mac lorsque le travail n’est pas trop complexe, ou directement le célèbre Da Vinci Resolve.
Pour du travail en photogrammétrie (création de cartes en relief), les plus connus sont Pix4D, ou encore l’impressionnant DroneDeploy, couramment utilisés pour le traitement des images aériennes. Ils permettent de retoucher, de géoréférencer et de créer des modèles 3D à partir des images capturées.
Tout compte fait, vous avez décidé de faire la prestation vous-même ! Après tout : faire voler un drone est à la portée d’un enfant. C’est juste un jouet, non ?
Ma foi, comme aiment à le répéter, Chevalier et Laspales : « il y en a qui ont essayé… mais ils ont eu des problèmes !« .
Mais si vous êtes vraiment décidé, suivez ces quelques conseils :
Apprenez à connaître les caractéristiques et les capacités de votre drone.
Lisez attentivement le manuel d’utilisation et suivez les recommandations du fabricant.
Connaître les lois et règlements concernant les drones dans votre région est crucial.
Respectez les hauteurs de vol, les zones interdites et les exigences d’enregistrement.
Avant chaque vol, vérifiez les conditions météorologiques, les obstacles potentiels et les zones de vol autorisées.
Évitez de voler par temps venteux, pluvieux ou brumeux.
Inspectez votre drone pour vous assurer qu’il est en bon état.
Vérifiez la charge de la batterie, l’état des hélices et la stabilité du cardan.
Trouvez un espace ouvert, loin des obstacles et des personnes.
Évitez les zones avec des lignes électriques, des arbres ou des bâtiments.
Gardez votre drone en vue :
Toujours garder le drone à portée de vue.
Évitez de voler trop loin ou hors de votre champ de vision.
Évitez de survoler des propriétés privées sans autorisation.
Ne capturez pas d’images ou de vidéos de personnes sans leur consentement.
Prévoyez un plan en cas de perte de signal, de panne de batterie ou de dysfonctionnement du drone.
Sachez comment atterrir en toute sécurité en cas de problème.
Évitez de voler près d’animaux, d’oiseaux ou de zones sensibles.
Respectez la faune et la flore locales.
Ne volez pas sous l’influence de l’alcool ou de substances illicites.
Soyez conscient de votre responsabilité en tant que pilote.
Durant un vol, si vous ne gardez pas votre drone visible à l’œil nu, cela constitue une violation des règles de sécurité et peut entraîner jusqu’à 6 mois d’emprisonnement, la confiscation du drone et une amende allant de 15 000 € à 75 000 €
Le non-respect de la vie privée constitue un délit passible d’une amende de 45 000 euros et d’une peine de prison d’un an.
Si vous utilisez votre drone de manière dangereuse, par exemple en survolant un groupe de personnes, vous êtes passible d’une amende de 15 000 euros et d’une peine de prison d’un an.
Si vous vous amusez à faire voler votre drone dans une zone règlementée, ou pire, interdite (par exemple une zone militaire telle que la longue plage de l’Almanarre à Hyères), vous risquez de 1 à 6 mois d’emprisonnement et de 15 000 € à 75 000 € d’amende et accessoirement de vous faire confisquer votre drone ! Cela fait cher le souvenir de vacances !
Si votre objectif est d’utiliser la vidéo filmée par le drone pour vendre votre bien immobilier, il faut le présenter sous son meilleur jour, n’est-ce pas ?
Pour un tournage extérieur, pensez à ranger tout ce qui peut traîner dans le jardin : linge qui sèche, jouets d’enfant, objets abandonnés… Dans l’idéal, vos toitures devraient être débarrassées des éventuelles feuilles ou branches tombées dessus. Selon la saison, une taille des haies et du gazon peut également donner le sentiment que votre résidence est bien entretenue.
Pour un tournage en intérieur, il faudra penser à ranger chaque pièce, nettoyer les sols et les vitres et ne pas encombrer les couloirs et escaliers afin que le drone puisse circuler facilement entre les pièces. Lors de ma visite de repérage, je placerai de petites cales pour bloquer les portes (et certaines fenêtres) en position ouverte sur la trajectoire prévue pour le drone.
Nota : si vous avez un animal de compagnie, il est préférable de l’éloigner du lieu de tournage ou de l’attacher. En effet, le bruit généré par l’appareil peut rapidement le stresser et provoquer une réaction de fuite ou d’attaque bien compréhensible.